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collège antoine-pons - Page 27

  • C'était hier : Les platanes du collège ne bourgeonneront plus

    L'article mis en ligne avait été publié dans l'Indépendant, édition du vendredi 1er janvier 2010.

    collège antoine-ponsQuatre grands témoins ont disparu du paysage (photo archives Novembre 2009).

    Témoins discrets et majestueux depuis des décennies, ils avaient participé au 30e anniversaire de la création du collège Antoine Pons, célébré le 17 mai 2008. Les quatre grands platanes qui ornaient l'entrée de l'établissement côté église Saint-Pierre, ont été définitivement mis à terre quelques jours avant que l'année 2009 ne se termine. Une décision motivée par un premier incident sans gravité, qui avait vu en novembre dernier un de ces grands arbres dévisser sur sa base et venir s'affaisser au pied de la toute nouvelle cantine scolaire. Là même où les enfants se rassemblent avant d'aller prendre leur déjeuner. En cause, les fortes pluies tombées sur le Kercorb qui avaient rendu un sol très meuble dans lequel le végétal était de plus faiblement enraciné.

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    Afin d'éviter une nouvelle mésaventure aux conséquences plus graves, la décision était rapidement prise de supprimer les trois autres platanes, pourvoyeurs d'une ombre bienfaitrice certes, mais devenus trop dangereux. Une matinée aura suffi aux spécialistes, pour faire disparaître du paysage quatre représentants du symbole de la régénération, selon la mythologie grecque.  

  • C’était hier : Les jeunes handballeurs au Palais des sports de Toulouse

    L’article mis en ligne avait été publié dans l’Indépendant, édition du samedi 18 décembre 1999.

    collège antoine-ponsLes jeunes de l’association sportive du collège ont investi le Palais des sports (photos archives, décembre 1999).

    L’association sportive du collège Antoine-Pons organisait vendredi dernier, une sortie au Palais des sports de Toulouse, afin d’assister à une rencontre de handball comptant pour le championnat de France de 1ère division. Les Spacer’s toulousains opposés aux Parisiens de l’U.S. Créteil ont offert un superbe spectacle à nos handballeurs locaux, littéralement emballés par le jeu des partenaires de Lartigue et Plantin. Score final 27 à 21 pour les protégés du duo Alain Raynal-Claude Onesta, qui se sont livrés en fin de rencontre à une très appréciée séance de dédicaces.

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    Au coup de sirène annonçant la fin de la rencontre, les jeunes Chalabrois ont bondi sur le parquet du Palais des sports en quête d’autographes, finissant ainsi la soirée aux côtés de Gonzalez, Marcos, Prisacaru ou Feshchenko, internationaux cubains, roumain et biélorusse. Grâce à l’initiative de leurs professeurs d’EPS Monique et Patrick Rault, les pensionnaires de l’association sportive chalabroise, sont une nouvelle fois revenus enchantés de leur voyage sur les bords de la Garonne. Ce qui vient confirmer, si besoin était, que le handball reste une discipline solidement ancrée dans la tradition sportive du collège Antoine-Pons.

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    Sarah, Manuela, Muriel et Delphine, inconditionnelles des Spacer's

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    Aux côtés de nos collégiens, Sébastien Lartigue...

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    ... et François Woum Woum

  • C’était hier : L'an 1000 au collège Antoine-Pons

    L’article ci-dessous avait été publié dans l’Indépendant, édition du mardi 2 novembre 1999.

    collège antoine-ponsEisalabra, c’était il y a 1000 ans… Jérôme Fransioli (à droite) et son équipe de bâtisseurs (photos archives octobre 1999).

    Il suffisait de passer ce jour-là aux abords de l’église Saint-Pierre pour imaginer le tournage d’un remake de la Passion Béatrice. Au cœur de cette mise en scène, les potaches du collège Antoine-Pons, en route vers l’an 1000 et le quotidien des habitants d’Eisalabra, petite cité qui n’avait pas alors le statut de chef-lieu de canton.

    Décors, costumes d’époque, rien ne manquait en cette journée qui aura été la première étape du projet pédagogique initié par l’équipe enseignante de l’établissement chalabrois, en partenariat avec l'école Louis-Pergaud. Un projet grâce auquel les collégiens vont partir dans les prochains jours à la découverte du patrimoine et de l’originalité d’une ville franche telle que la bastide de Chalabre. Visite des vieux quartiers, réalisation de photos et croquis, recherche documentaire dans les archives communales et au CDI, évolution de l’environnement. A l’évidence, un programme passionnant pour de jeunes étudiants qui devront, au final, imaginer et écrire une énigme policière ayant défrayé la chronique de Chalabre au Moyen Age.

    Guidés dans les recherches par leurs professeurs, ils bénéficient déjà des précieux concours de Mme Marie-Louise Saddier, philosophe et historienne issue d’une très vieille famille chalabroise, et de M. Robert Roncalli, mine d’anecdotes et mémoire vivante du Kercorb.

    A travers l’évocation de personnages et d’événements ayant marqué la vie chalabroise, nos collégiens s’efforceront de recréer l’atmosphère et le cadre susceptibles d’inspirer l’intrigue de leur récit. Rédigés aux alentours du troisième trimestre, les ouvrages seront alors soumis à un comité de lecture chargé de retenir les meilleurs textes, lesquels devraient figurer en bonne place dans le Tome V publié par l’association Il était une fois Chalabre.

    Comme il est permis de le supposer, nos potaches viont très vite laiser libre cours à leur imagination. Rendez-vous en l’an 2000 pour leur version des « Mystères de Chalabre ».

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  • C'était le temps du « certif »

    En ce mois de juillet 1966, les lauréats du C.E.P.E (Certificat d'études primaires élémentaires) s'apprêtent à quitter le C.E.G de Chalabre, diplôme en poche. L'établissement dirigé alors par M. Marc Jean-Pierre, ne portait pas encore le nom de collège Antoine-Pons, et la création d'une classe de 4e n'était toujours pas d'actualité.

    Délivré depuis 1874 aux élèves des écoles publiques et privées par une commission cantonale que présidait l'inspecteur d'académie, le « certif » était l'unique et premier examen auquel les potaches chalabrois étaient soumis. En effet, après la classe de 5e, c'était le grand départ vers l'inconnu, et souvent  vers l'internat, à Mirepoix, Quillan ou le lycée de l'Esplanade à Limoux.

    En 1966, nos brillants élèves (100% de réussite cette année là) méritaient certainement de poser devant l'objectif de Maurice Mazon.   

    CEPE juillet 1966.jpgDebout de gauche à droite : Lydie Jorda, Jacqueline Muros, Monique Bourgois, Eliane Saurat, Michelle Costa, Marie-Lise Gleizes, Daniel Gaubert, Marie-Claude Pech, Serge Nègre, Hélène Marcos, Michel Brembilla, Visitation Lorca, Daniel Delpech, Marie Baro, Denis Rives, René Boussioux, Alain Dalème. Accroupis : Gérard Calbo, Georges Sansano, Alain Saurel, Guy Silvestre, Alain Castelnaud.